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 Facteurs de risque

La plupart des scientifiques s'entendent pour dire que les facteurs suivants influent sur le risque de cancer du côlon. Certains peuvent s'appliquer à vous, mais d'autres pas.



 
 
L'âge et le cancer du côlon
Le risque de développer le cancer du côlon augmente avec l'âge. Plus de 90 % des cas sont diagnostiqués chez les personnes de plus de 50 ans. L'âge moyen au moment du diagnostic est de 73 ans.

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La taille et le cancer du côlon
Les personnes de grande taille ont un plus grand risque de développer le cancer du côlon que les personnes de petite taille. Selon les scientifiques, cela s’expliquerait par le fait que les personnes de grande taille se développent rapidement. Quelques-unes des mêmes hormones et d’autres facteurs responsables de la croissance accroîtraient la probabilité que les cellules qui se divisent deviennent anormales et cancéreuses.

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Le poids et le cancer du côlon
Les personnes qui maintiennent un poids santé diminuent leur risque de cancer du côlon. Le tissu adipeux agit sur différents niveaux d’hormones dans le corps, et une trop grande quantité de tissu adipeux pourrait élever les niveaux d’hormones, ce qui contribuerait à l’augmentation du risque de cancer.

Les personnes qui maintiennent un poids santé diminuent aussi leur risque de cancer du rein, maladies du coeur, de diabète et d'accidents vasculaires cérébraux. De plus, les femmes qui maintiennent un poids santé diminuent leur risque de cancer du sein et de cancer utérin.

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L'activité physique et le cancer du côlon
Les personnes qui font de l’activité physique pendant au moins 30 minutes par jour diminuent leur risque de cancer du côlon, probablement parce que l'activité physique permet aux déchets de séjourner moins longtemps dans le côlon.

De plus, les personnes qui font de l’activité physique diminuent leur risque de maladies du cœur, de diabète et d'accidents vasculaires cérébraux. En outre, l'activité physique permet de maintenir un poids santé.

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La viande rouge et le cancer du côlon
Les personnes qui consomment moins de 3 portions de viande rouge par jour diminuent leur risque de cancer du côlon. Il est recommandé d’éliminer les viandes transformées, telles que hot dog, jambon et salami. De plus, la viande cuite et transformée contiendrait des produits chimiques qui pourraient transformer les cellules en cellules cancéreuses.

La viande rouge comprend la viande de boeuf, de porc, de veau et d'agneau. 1 portion est égale à 4 onces, soit à peu près la taille d'un jeu de cartes.


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L'alcool et le cancer du côlon
Les personnes qui prennent plus d’une consommation d’alcool par jour augmentent leur risque de cancer du côlon (une consommation représente une cannette de bière, un verre de vin ou un spiritueux). Beaucoup de raisons expliquent cette corrélation. Par exemple, l’alcool est susceptible de causer des changements anormaux dans les cellules du corps, ce qui risque de d’entraîner le développement du cancer. L’alcool peut aussi baisser les niveaux de folate (acide folique) du corps, une vitamine B qui aide à prévenir la transformation des cellules du côlon en cellules cancéreuses.

Les hommes et les femmes qui boivent des quantités limités d'alcool diminuent leur risque d'accident vasculaire cérébral. De plus, les femmes diminuent leur risque de cancer du sein.

Toutefois, le fait de boire des quantités modérés d'alcool aurait aussi des avantages. Les gens qui boivent des quantités d'alcool modérées diminuent leur risque de maladie du cœur et de diabète.


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Les multivitamines et le cancer du côlon
Les personnes qui prennent chaque jour une multivitamine qui contient du folate (acide folique) diminuent leur risque de développer le cancer du côlon. Le folate est une vitamine B qui aide à prévenir la réalisation de changements anormaux à l’intérieur des cellules du côlon qui sont susceptibles de causer le cancer.

En plus de fournir une protection contre le cancer du côlon, la prise de multivitamines qui contiennent du folate diminue le risque de maladies du cœur et d’accidents vasculaires cérébraux chez les individus. De plus, le folate diminue le risque de malformations à la naissance s’il est consommé par les femmes avant ou pendant les premiers stades de la grossesse.


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Le calcium et le cancer du côlon
Les gens qui ne prennent pas assez de calcium courent un plus grand risque de développer le cancer du côlon que ceux qui en consomment suffisamment. Le calcium est un minéral important, qui sert à conserver les os, les muscles et le système nerveux en santé. Le calcium peut aussi aider à empêcher la croissance de cellules étrangères dans le côlon (polypes) et à prévenir le cancer du côlon.

Le calcium provient de diverses sources alimentaires, telles que les produits laitiers, les légumes-feuilles (tels que le brocoli et les feuilles de « chou vert ») et les aliments enrichis. Les suppléments de vitamines constituent également une bonne source de calcium. Selon des recherches, la consommation d’environ 700 mg de calcium par jour réduirait le risque de cancer du côlon, et en consommer une plus grande quantité ne serait pas nécessairement meilleur pour la santé. Les gens qui se privent de produits laitiers et d’autres aliments riches en calcium pourraient considérer la prise de suppléments de calcium.


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La vitamine D et le cancer du côlon
Les gens dont les niveaux de vitamine D dans le sang sont élevés ont un moins grand risque de développer le cancer du côlon. La vitamine D aide à protéger les cellules du côlon contre les changements qui peuvent entraîner le cancer. Il est possible d’obtenir un apport en vitamine D en s’exposant au soleil et en suivant un régime. Certaines personnes obtiennent leur apport en vitamine D par la prise de vitamines. Les produits latiers et les céréales au déjeuner enrichis de vitamine D ainsi que les poissons gras tels que le saumon et le thon constituent de bonnes sources de vitamine D.

De plus, la vitamine D est importante pour garder les os en santé, et elle peut aider à prévenir l’ostéoporose (perte d’os).


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Pilules contraceptives et le cancer du côlon
Les femmes qui prennent des pilules contraceptives pendant 5 ans diminuent leur risque de cancer du côlon, et le risque diminue avec le nombre des années de prise de pilule. Il semblerait que les pilules contraceptives diminuent les niveaux des sucs digestifs dans le corps. Les niveaux des sucs digestifs, lorsqu'ils sont élevés pourraient transformer les cellules du côlon en cellules cancéreuses.

Les pilules contraceptives ont des avantages et des inconvénients sur la santé d'une femme. La prise de la pilule contraceptive pendant au moins cinq ans aide à diminuer le risque de cancer du côlon, de cancer utérin et de cancer ovarien. Toutefois, la prise de la pilule augmente le risque de cancer du sein, de crise cardiaque et d'accidents vasculaires cérébraux. Pour certaines femmes, la pilule peut également s'accompagner d'effets secondaires, comme de nausées et de vomissements.


AVERTISSEMENT : La combinaison du tabagisme et de la prise de pilules contraceptives peut causer la mort. Ensemble, ils augmentent considérablement le risque d'une crise cardiaque et d’accidents vasculaires cérébraux. Toutes les femmes qui fument devrait arrêter aussitôt que possible.

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Les hormones post-ménopausiques et le cancer du côlon
Les hormones post-ménopausiques et le cancer du côlon Les hormones post-ménopausiques sont des médicaments qui aident à soulager les symptômes de la ménopause, comme les bouffées de chaleur et la sécheresse vaginale. Elles contiennent des hormones qui sont semblables aux hormones reproductrices femelles oestrogène et progestérone, que le corps cesse de produire en grande quantité après la ménopause.

Les femmes qui prennent des hormones post-ménopausiques durant 5 années ou plus présentent un moindre risque de développer le cancer du côlon. Bien que les scientifiques ne sachent pas pourquoi, il se peut que les hormones post-ménopausiques diminuent le niveau de certains sucs digestifs. Des niveaux élevés de ces sucs digestifs pourraient causer la transformation des cellules du côlon en cellules cancéreuses.

Les hormones post-ménopausiques peuvent avoir des effets positifs et négatifs sur la santé d'une femme. Ces hormones peuvent favoriser la multiplication anormale des cellules et augmenter le risque de cancer du sein, mais chaque hormone exerce une influence différente. La combinaison de l’œstrogène et de la progestérone semble augmenter le risque de cancer du sein, plus que l’œstrogène seul. Cependant, l’œstrogène seul augmente le risque de cancer utérin. En revanche, les hormones post-ménopausiques peuvent diminuer le risque d’une femme de développer le cancer du côlon et l’ostéoporose (perte d’os). Et, bien que dans le passé on ait cru que les hormones post-ménopausiques diminuaient le risque de crise cardiaque, on ne sait pas exactement de quelle manière elles influent sur le risque de développer des maladies du cœur.


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L'aspirine et le cancer du côlon
Les personnes qui prennent de l'aspirine régulièrement pendant plus de 15 ans diminuent leur risque de développer le cancer du côlon. Cela pourrait s’expliquer par le fait que l'aspirine prévient les croissances anormales (les polypes), en bloquant la production de certains produits chimiques dans le corps.

L'aspirine a des effets positifs et négatifs. Elle peut diminuer le risque de cancer du côlon et de crise cardiaque, mais elle peut augmenter le risque d'accidents vasculaires cérébraux. De plus, elle est parfois liée aux saignements d'estomac, d’intestins et du cerveau. Avant de prendre de l'aspirine régulièrement, infomez-vous de ses risques et avantages auprès de votre médecin.


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Les maladies intestinales inflammatoires et le cancer du côlon
La maladie intestinale inflammatoire est causée par des changements anormaux du tube digestif. Il existe deux types principaux de cette maladie : la maladie de Crohn et la colite ulcéreuse.

Les personnes qui sont atteintes de la maladie intestinale inflammatoire pendant 10 années ou plus présentent un plus grand risque de cancer du côlon. Cela pourrait s’expliquer par le fait que cette maladie cause la croissance et la division des cellules du côlon trop rapidement. Si ce processus occasionne des dommages à l'ADN, le cancer du côlon risque de se développer.


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Les antécédents familiaux et le cancer du côlon
Les gens qui ont un proche (mère, père, frère ou sœur) atteint du cancer du côlon présentent un plus grand risque de développer la maladie que la moyenne, car certains cancers du côlon sont liés à des mutations dans la structure génétique (ADN) des cellules du corps. Ces mutations peuvent se transmettre d’une génération à l’autre.

Les personnes ayant des antécédents familiaux de cancer du côlon pourraient avoir besoin de subir des tests de dépistage plus tôt et plus souvent que les autres. Cliquez ici pour en savoir plus sur les antécédents familiaux et sur le dépistage du cancer du côlon.


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Le dépistage et le cancer du côlon
Les gens qui se soumettent régulièrement à des tests de dépistage diminuent leur risque de développer le cancer du côlon. Ces tests favorisent la prévention du cancer du côlon, car ils aident à localiser les polypes et à procéder à leur ablation. Les polypes sont de petites tumeurs non cancéreuses, qui parfois se transforment en cancer.

Cliquez ici pour plus d'information sur le dépistage du cancer du côlon.

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